mars 2012

EVIDEMMENT :

  Après la vie, c’est fichu T’as beau y croire, Pas de salut Ce n’était qu’un abreuvoir, Tu n’as suivi que le chemin D’un sursis, t’avais besoin d’un copain Pour te tenir la main Pour te lever le matin. Demain, c’est la mort Et pas l’aurore D’un lendemain. Quand tu es mort, c’est la fin.