La Confession rationaliste de James Morrow
Marco Valdo M.I.
Dans cette Confession rationaliste, comme dans les précédentes entrevues fictives[1], un Inquisiteur tente de cerner l’athéisme de l’impétrant ; c’est le métier d’Inquisiteur de faire parler les suspectes et les suspects d’hérésie – « Parlez, parlez, nous avons les moyens de vous faire parler »[2]. On trouve face à l’enquêteur Juste Pape, le suspect James Morrow, né à Philadelphie en 1947 – un des grands auteurs de science-fiction contemporains. Athée, sceptique, rationaliste, il continue son aventure humaine en Pennsylvanie. Pour constituer son dossier, l’Inquisiteur se réfère à l’ensemble de l’œuvre de James Morrow[3].
Bonjour, Monsieur Morrow. Je suis Juste Pape, enquêteur de l’Ovraar[4] en mission spéciale. Je voudrais tout d’abord m’assurer que vous êtes bien Monsieur James Kenneth Morrow, né à Philadelphie, le 17 mars 1947.
Bonjour également, Monsieur l’Inquisiteur. C’est en effet ce qui figure dans le dossier de l’administration de l’état civil où mes parents m’ont fait enregistrer. Exactement, à Germanstown, une ville fondée avant 1700 par des colons venus d’Allemagne, qui avaient fui les persécutions religieuses. Laissez-moi vous dire combien cette curieuse rencontre m’étonne et m’amuse ; c’est comme si je me retrouvais dans une nouvelle de science-fiction. Comme on dit chez vous, « se non è vero, è ben trovato ».
Monsieur Morrow, il semblerait finalement que vous êtes un athée impénitent et assez sarcastique à l’égard de Dieu et de ses religions. Le dossier relève que vous êtes l’auteur d’une impressionnante série de romans à thèse qui tous présentent Dieu sous un angle ironique et destructeur. Il n’y a rien d’étonnant que vous proclamiez votre admiration et votre filiation de Voltaire.
Soit, Monsieur l’Inquisiteur, votre dossier n’a pas tort. Vis-à-vis de Dieu (mort ou vivant), vis-à-vis des dieux de partout et de nulle part, vis-à-vis des religions et des religieux, je me positionnerais dans une prudente retraite, parce que les bûchers ne sont jamais loin, qu’il y a pas mal de fanatiques en liberté et que leur mental n’est pas des plus équilibré. Sous le couvert du secret, je vous avouerais que je me considère comme sceptique et athée. Être discret et secret sur ce qu’on pense est un conseil que je donne aux jeunes filles et aux jeunes gens incroyants ou athées, qui vivent au milieu de croyants. Qu’ils sachent cela ces jeunes que quelle que soit la religion ou la croyance locale, elle finit toujours – dès qu’elle en a l’occasion et les moyens – par persécuter celui qui revendique son indépendance intellectuelle et sa liberté d’individu. Il est dangereux d’être incroyant ou athée du fait même qu’on s’échappe de la doxa commune, qu’on a des pensées dissidentes, qu’on échappe à la comédie envoûtante des maîtres et qu’on s’écarte du troupeau. Les bergers et leurs chiens n’aiment pas ça du tout. Qui dit pensées dissidentes dit danger pour les piliers du système. Je résume la chose par cette antienne : « Au pays des aveugles, les borgnes sont de dangereux intellectuels. »
Vous pensez vraiment ça ? dit l’Inquisiteur.
Certainement, Monsieur l’Inquisiteur. J’insiste : « Au pays des religieux, les athées sont de dangereux intellectuels » et aux yeux des vrais croyants, il convient d’anéantir tous ces mécréants et au besoin, de les éliminer. C’est épouvantablement vrai, car voyez le sort des athées dans les pays, les villes, les quartiers et les communautés sous domination religieuse ! Pour ne pas être accusé de médire ou de calomnier unilatéralement les religions et les prophètes musulmans ou hindous qui assassinent les athées et les incroyants, voyez ce qu’il advint de Giulio Cesare Vanini, auteur des dialogues De Admirandis Naturæ Reginæ Deæque Mortalium Arcanis (Merveilleux Secrets de la nature, la reine et la déesse des mortels), qui y entrevoyait en précurseur les considérations de Darwin sur l’origine des espèces et qui en 1620, finit sur le bûcher à Toulouse en disant : « Allons allègrement mourir en philosophe. Il n’y a ni Dieu, ni Diable ! » ; voyez ce qu’en disait déjà Eschyle dans son Prométhée enchaîné, lequel devait son supplice au fait d’avoir donné à l’homme pour qu’il puisse s’affranchir de Zeus, rien de moins que la connaissance, le feu, le temps, les mathématiques, l’écriture et d’autres savoirs. Autrement dit, d’avoir donné à l’homme la pensée, la raison, la science et les moyens de leur développement et par conséquent, la capacité de se débarrasser de Dieu, de la religion et de tout ce qui s’ensuit. Du point de vue divin, c’était de la haute trahison. Oui, en vérité, je vous le dis, je suis sceptique et athée. À ce sujet, j’aimerais quand même préciser ma position philosophique, car entre l’Europe de culture française et les États-Unis, où je vis, il y a plus qu’un océan et les « fakes » volent en escadrilles.
Je vous en prie, Monsieur Morrow, faites, je n’attends que ça. C’est même le but de notre rencontre : éclairer votre point de vue sur le monde.
Donc, Monsieur l’Inquisiteur, je me décrirai comme un « scientific humanist », un « bewildered pilgrim » et un « child of Enlightenment » ; autrement dit : un humaniste scientifique, un pèlerin égaré et un enfant des Lumières. Disons qu’en français, je me définirais comme un rationaliste scientifique[5] ; j’ai d’ailleurs publié longtemps un blog sous le titre : « The Passionate Rationalist »[6], le rationaliste passionné.
Voilà qui est clair, dit l’Inquisiteur, et qui vous classe en quelque sorte exactement où mon dossier avait envisagé de vous situer. Mais revenons à votre vision du monde, votre Weltanschauung ou votre world view.
De conséquence, Monsieur l’Inquisiteur, enfant des Lumières et du rationalisme, inconditionnel de la science, depuis mes années d’humanités – j’aime beaucoup ce mot d’humanité, il me convient très bien, je dirais même qu’il me caractérise –, ma vision du monde a toujours été « secular », disons séculière, autrement dit, selon moi, laïque et athée. À ce propos, je voudrais rendre à mon professeur de littérature mondiale au lycée d’Abington, Monsieur James Giordano (oui, Giordano comme Giordano Bruno qui mourut sur le bûcher à Rome) ce que je lui dois : mon attachement à la littérature et à la pensée libre. C’était mon âge de raison où j’en suis venu à avoir le sentiment que mes convictions théistes ne tenaient absolument pas compte de la réalité. Le raisonnement chrétien est certes beau et cohérent, mais il se trouve qu’il ne s’applique pas au monde dans lequel nous vivons[7]. C’est ainsi que je suis devenu un athée confirmé et que je pense que, comparé aux options religieuses, le rationalisme qui suivit les Lumières représente toujours le dernier et meilleur espoir de l’humanité[8].
En somme, Monsieur Morrow, vos romans ont suivi votre conversion, dit l’Inquisiteur.
Quant à mes romans, j’aimerais mieux ne pas trop les globaliser, car certains me représentent mieux que d’autres, mais je conseille de les lire et, si possible, tous. Pourtant, si, comme écrivain vivant de sa plume, coincé longtemps par la nécessité éditoriale, j’ai écrit des histoires pour des publics les plus larges possible, il est arrivé un moment où j’ai souhaité faire passer quelque chose de plus, où j’ai senti la nécessité d’affirmer ce pourquoi je voulais écrire.
Là, vous m’intriguez et vous m’intéressez, dit l’Inquisiteur. Si vous pouviez préciser, développer un peu ce point de vue.
Eh bien, voilà, Monsieur l’Inquisiteur. Je départagerais volontiers mes romans en deux périodes : ceux d’avant l’an 2000 et ceux de ce siècle, dans lesquels je relie mon récit et ma réflexion à l’histoire, à l’histoire des idées et à celle de la science, ce qui rejoint totalement mon attachement aux Lumières et à la pensée rationaliste.
Justement, Monsieur Morrow, dites-moi parmi tous vos romans ceux qui ont votre préférence.
Monsieur l’Inquisiteur, parmi tous mes romans, ce sont ceux qui m’ont demandé le plus de recherches, le plus d’études, le plus de lectures, le plus de minutieuses réflexions. Ce sont deux récits fictifs fondés sur des événements historiques : l’un a comme héros l’œuvre d’Isaac Newton, les Principia Mathematica – c’est « Le Dernier Chasseur de Sorcières »[9] (au passage, vous remarquerez qu’encore une fois, c’est une histoire où il apparaît que la pomme a une très grande influence sur le destin du monde) ; l’autre, l’œuvre de Charles Darwin, L’Origine des espèces – c’est « L’Arche de Darwin »[10]. Newton et Darwin sont deux hommes qui ont, volens nolens, emmenés par leurs œuvres, changé le cours des choses et renvoyé tous les dieux au néant, dont à mon sens, ces derniers n’auraient jamais dû sortir.
À quelle forme de littérature vous êtes-vous donc consacré, Monsieur Morrow ? Mon dossier n’est pas très clair à ce sujet.
Ainsi, Monsieur l’Inquisiteur, comme écrivain, au départ, j’avais choisi la fantasy, la littérature fantastique, le monde imaginaire, qui est mieux exprimé par le monde imaginé en lien avec la philosophie rationnelle, car un écrivain ne peut bénéficier d’une telle liberté que dans le cadre apparemment sans prestige de la S.-F. C’est le prix à payer. En franchissant les limites du possible, en entrant dans des mondes imaginaires, on peut mettre à jour certaines vérités. Par exemple, toutes ces histoires concernant la mort de Dieu, l’existence de sa Mère ou de sa Femme, de leur Fils et de leur Fille sont évidemment purement imaginaires et si je les raconte, il ne faut pas en déduire que je crois au surnaturel. En fait, ce sont des contes philosophiques, héritiers d’une tradition qu’on peut faire remonter à la plus haute antiquité, à Lucien et son Âne d’or, par exemple. Vous connaissez Apulée (Lucius Apuleus), écrivain romain d’origine berbère, qui a écrit ce premier roman en prose de langue latine au IIIe e siècle : l’Âne d’Or ou Les Métamorphoses[11] ; c’est le premier roman en prose, mais aussi premier roman fantastique, le premier récit de fantasy[12]. Et croyez-moi, la chose a son importance. Comme le rappelle Marcel Hicter[13], D.-H. Lawrence a écrit : « Le roman est une grande découverte. Bien plus grande que le télescope de Galilée. » La littérature a d’abord et très longtemps été un récit imaginaire, voyez Homère, Dante, Shakespeare, Cervantès, Swift, Voltaire, Cyrano. Ceci est fondamental, du fait que l’éveil de l’imagination entraîne celui de la réflexion, fondement du développement de la pensée et de l’intelligence partagée, qui sont les conditions de la liberté de mouvement intellectuelle, de l’élaboration des sciences, de la mise en cause des dogmes et par conséquent, de l’émancipation de la société et de ses membres.
Pourquoi de telles parodies, pourquoi tant de satire ? demande l’Inquisiteur.
En fait, je pense que la satire est une forme de littérature très sérieuse, car la satire peut mettre les gens en colère et de ce fait, les inciter à réfléchir – évidemment, il y a les irréductibles fanatiques pour qui seule la croyance existe. Il en va de même de la science-fiction que je pratique aussi et ces deux formes littéraires mises ensemble me permettent d’activer les feux de la pensée et croyez-moi, c’est efficacement destructeur des dogmes et des croyances[14] et bien entendu, des pouvoirs abusifs.
Cependant, dit l’Inquisiteur, j’aimerais savoir ce que vous dites de l’âme, de la spiritualité.
L’âme, c’est tout bonnement un gadget, une rustine qui camoufle une ignorance. Quand le lien entre la pensée et le corps sera vraiment compris, s’il l’est jamais, cette connaissance sortira probablement des laboratoires médicaux, pas des élucubrations néoromantiques[15], autrement dit religieuses.
Et alors, Monsieur Morrow, que dites-vous de la mort ?
La mort, j’en ai fait toute une histoire[16]. Vous savez, la mort, quand elle est bien servie, devient une grande et fière religion. Voyez l’Égypte ancienne, voyez le christianisme. (F174) En fait, presque toutes les religions sont nécrophiles. Ceci dit, la mort est une bénédiction. Sans le néant, les humains ne seraient même pas là. Demandez à Charles Darwin : sans la mort, la vie sur la Terre resterait un monde de vase précambrienne, immortel, invariable et ennuyeux. (F183) Pour conclure sur la mort, j’ai décidé d’écrire un livre de blagues avec comme titre : « À mourir de rire » ? (F175)
Et Dieu, quand même, Dieu ? demande l’Inquisiteur.
Vous savez, au regard de l’histoire du monde, de la Terre et de l’humanité, les dieux sont jeunes, ils n’ont pas plus de cinq mille ans. Quant à votre Dieu, c’est un dieu parmi tous les autres, et on en invente régulièrement de nouveaux ; comme les anciens modèles, ces nouveaux dieux n’existent pas ; c’est juste un jeu de croyances et de croyants ; retirez les croyants, il n’y a plus de Dieu. Dieu ? Il y en a tellement des dieux, même si on s’en tient aux monothéismes. Prenez Amanda, l’éponge, dont je vous informe qu’elle se considère comme Dieu. Que dit-elle ? Elle dit ceci : « Il reste un dernier point de vue qui a mes préférences ; que ce soit moi Dieu ; ce n’est qu’une théorie, mais toutes les données concordent. Suivez bien : sans visage, sans forme, criblée de trous, sans particularités, Juive, indéchiffrable et hermaphrodite, immortelle et infinie. Et j’aimerais bien qu’on me prouve le contraire. »[17] Vos théologies ne disent rien d’autre que « Dieu existe, allez prouver le contraire. » Cette affirmation de l’existence de Dieu, c’est un tour de bonimenteur, une menterie de bonne sœur, c’est une annonce de poker menteur. Un Dieu avec sa religion est une invention amusante, un délire rigolo que j’apprécierais assez, s’il ne servait pas à la domestication des gens. Dans le fond, la religion, c’est une affaire.
La religion, une affaire ? demande l’Inquisiteur.
Une affaire, certainement et fort lucrative. Une bonne affaire pour les religieux, en tout cas. (F207) Car la religion est un vrai commerce et certaines religions sont des multinationales aux dimensions colossales et solidement établies. Ce sont les plus anciennes et les plus tenaces compagnies que l’on connaît. Ce sont aussi des structures politiques – entendons, de pouvoir et de coercition – qui tendent à perdurer bien plus que tous les empires connus. Les religions ont vocation d’accumuler les richesses et à manipuler les populations et aussi les gens au pouvoir. Elles jouent sur les deux tableaux, c’est dans leur nature même.
Et la Bible, les Saintes Écritures, les Évangiles, qu’en dites-vous, vous, Monsieur Morrow ?
Monsieur l’Inquisiteur, c’est de la littérature fantastique, de la fantasy, tout comme les autres livres sacrés ; à peu près toutes les religions se fondent sur des épopées divines toutes plus fantastiques les unes que les autres ; ce sont des miroirs aux alouettes, des récits incantatoires destinés à envoûter, à hypnotiser les gens et de très précieux ouvrages de référence pour les professionnels du prosélytisme dont les entreprises religieuses ont besoin pour s’affirmer et pour se développer. Ce sont des sommes de racontars assez efficaces.
Nous allons en rester là, dit l’Inquisiteur. J’ai assez d’éléments pour conclure et je vous souhaite une bonne fin de journée et que tout aille bien.
Ah, Monsieur l’Inquisiteur, avant de vous laisser, je voudrais vous dire que l’Inquisition n’est plus ce qu’elle était. C’est une chance pour moi, car j’imagine comment j’aurais été traité à votre grande époque et ce que seraient devenus tous mes livres et je visualise avec effroi un chœur d’Inquisiteurs qui tournent autour de moi en chantant comme des enfants : « Tous ses livres au feu et Morrow au milieu ». Sur ce, je vous laisse et saluez Dieu pour moi, si jamais vous le rencontrez.
Notes
- . Carlo Levi, Raoul Vaneigem, Clovis Trouille, Isaac Asimov, Jean-Sébastien Bach, Bernardino Telesio, Mark Twain, Satan, Savinien Cyrano de Bergerac, Michel Bakounine, Dario Fo, Hypatie, Cami, Dieu le Père, Émilie du Châtelet, Percy Byssche Shelley. ↑
- . Francis Blanche, in Babette s’en va-t-en guerre (1959). ↑
- . James Morrow est un auteur dont la bibliographie est assez importante, elle comprend une trilogie qui l’a rendu plus que célèbre La Trilogie de Jéhovah, qui comprend En remorquant Jéhovah, J’ai lu, 1995 (Towing Jehovah, 1994) ; Le Jugement de Jéhovah, J’ai lu, 1998 (Blameless in Abaddon, 1996) ; La Grande Faucheuse, Au diable vauvert, 2000 (The Eternal Footman, 1999) et une série d’autres romans dont Le Vin de la violence, Denoël, « Présence du futur », 483, 1989 (The Wine of Violence, 1981) ; The Adventures of Smoke Bailey, 1983 ; L’Arbre à rêves, La Découverte, 1986 (The Continent of Lies, 1984) ; Ainsi finit le monde, Denoël, « Présence du futur », 458, 1988 (This Is the Way the World Ends, 1986) ; Notre mère qui êtes aux cieux, J’ai lu, 1991 (Only BegottenDaughter, 1990) ; La Cité de vérité, Denoël, « Présence du futur », 530, 1992 (City of Truth, 1990) ; Le Dernier Chasseur de sorcières, Au diable vauvert, 2003 (The Last Witchfinder, 2003) ; L’Apprentie du philosophe, Au diable vauvert, 2011 (The Philosopher’s Apprentice, 2008) ; Hiroshima n’aura pas lieu, Au diable vauvert, 2014 (Shambling Towards Hiroshima, 2009) ; The Madonna and the Starship, 2014 ; L’Arche de Darwin, Au diable vauvert, 2017 (Galápagos Regained, 2015) ; The Asylum of Dr. Caligari, 2017 ; Lazare attend, Au diable vauvert, 2021 (Lazarus Is Waiting, 2020) ainsi que des recueils de nouvelles. ↑
- . OVRAAR : voir note dans Carlo Levi. ↑
- . James Morrow, James K. Morrow, Wikipedia (il existe une traduction française de cette notice biographique : James K. Morrow James K. Morrow). ↑
- . James Morrow, Author’s blog, The Passionate Rationalist. ↑
- . James Morrow, ITW James Morrow, ActuSF, 31 octobre 2017. ↑
- . Ibid. ↑
- . James Morrow, Le Dernier Chasseur de sorcières, Au diable vauvert, 2003 (The Last Witchfinder, 2003), La Laune, 686 p. ↑
- . James Morrow, L’Arche de Darwin, Au diable vauvert, 2017 (Galápagos Regained, 2015), La Laune, 603 p. ↑
- . Lucius Apuleius, L’Âne d’Or (Asinus Aureus) ou Les Métamorphoses, Folio, Gallimard, Paris, 1975, 416 p. ↑
- . Marcel Hicter, Apulée, conteur fantastique, Lebègue, Office de Publicité, Bruxelles, 1942, 89 p. ↑
- . Ibid, p.6 – Cette double citation de Marcel Hicter se veut un discret hommage à un vieil ami, qui fut aussi un agréable discoureur très au fait des subtilités de la culture. ↑
- . James Morrow, interview, ActuSF, 9 avril 2020. ↑
- . James Morrow, Cité de Vérité, Gallimard, Paris, 1998, 280 p., p.252. ↑
- . James Morrow, La grande Faucheuse, Au diable vauvert, La Laune, 2000, 473 p. ↑
- . James Morrow, Notre mère qui êtes aux cieux, J’ai lu, 1991, 383 p., pp. 379-380. ↑
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